Dans la nuit noire commença notre histoire...

J'ai fait un truc que j'avais pas fait depuis 2010.
J'ai. Publié. Un article. Sur facebook.
Je me suis exposée à un public un peu plus concret. Désolée, très-cher-visiteur-anonyme, j'espère que tu le vis pas comme de l'adultère. C'était pas réfléchi, pas prémédité, c'est arrivé comme ça.
Bref c'était tellement inhabituel que ça a même inquiété S. Mais au final, la critique a plutôt été bonne. Qu'est ce que ça fait du bien de retrouver des lecteurs! Ça m'avait manqué.

Mon examen d'analyse quantitative s'est... passé. Je ne peux pas dire qu'il ait été particulièrement bon, mais il n'était pas réellement mauvais non plus. On verra. Du coup là je suis en vacances pour une semaine... mais il me reste encore un examen, dans deux semaines. J'ai le temps de le voir venir, mais il va falloir que je m'y mette. Celui là va être rude aussi.

J'ai fini par trouver un thème à ce blog: c'est ma zone d'entraînement lyrique.
(J'ai d'abord pensé à appeler ça "ma poubelle émotionnelle", mais je me suis dit que tu allais peut-être mal le prendre, cher visiteur anonyme.)
Dans ce domaine, je sais qu'il ne faut pas que je prenne d'engagement. Ou plutôt que je ne le formule pas à voix haute. Alors, si tu es d'accord, lecteur, on va faire comme si rien n'avait changé. D'ailleurs, techniquement, rien n'a changé.

Je ne sais pas trop ce qui se passe en ce moment, mais ça me plaît. On verra bien la forme que ça va prendre, tout ça.

Oui parfaitement, cet article est passablement inutile et fumeux. Je ne suis pas sure qu'il soit très claire. C'est pas grave.
En fait, je ne sais pas comment j'ai fait, mais j'ai l'impression de m'être libérée d'un terrible et malplaisant blocage. Mais je ne vais pas y penser trop fort.